Les matins de week ends, je les passais soit dans ma demeure londonienne, ma ville, mes origines soit je les passait ici, au café des étudient du collège le plus huppé de toute l'Europe. Et ce week end il m'était impossible de rejoindre l'Angleterre étant donné que mon cher père et cela à cause du fameux jubilé de diamant de notre grand reine qui ne l'ai pas tant que cela à omit de m'envoyer le jet afin que je puisse assister au défilé navale et aux autres festivités prévu à Buckingham. Inutile de dire que je suis totalement furieuse et hors de moi.. Et d'ailleurs ceci m'empêcha d'avoir une nuit reposante ce qui fait qu'a mon réveil j'avais des poches monstrueuses sous les yeux, ce qui me rendis encore plus verte de rage. Cependant, je me rappelais au même instant d'une phrase que ma mère me répétait souvent; La colère accélère le vieillissement de la peau. Par reflex et pour me convaincre que ma peau était parfaite je l'étira vers l'extérieur en me penchant devant mon miroir. Une fois cette certitude rétablie dans mon esprit je commençais à me préparer, mettant une bonne couche de fond de teint pour caché ce que mon sommeil n'avait pus réparer. De nos jours le "make up" fait réellement des miracles.

Une fois vêtue, coiffée et maquillée je sors de ma chambre afin de me rendre avec le Times, un journal anglais, au café d'étudiant. A mon arrivée je demande mon petit pain au chocolat et une grande tasse de café avant d'aller m'assoir près de la grande fenêtre en pied afin de recevoir un maximum de soleil régénérateur. Quelques minute plus tard on m'amena ma commende et remercia le serveur d'un signe de tête distrait.

J'ouvris alors mon quotidien que je recevais chaque jour dans ma chambre avec intérêt. Plus de dix page faisait mention de la reine, je serre les dents en repensant au fait que je ne pourrais nullement la saluer. Monsieur Buckater me la payera c'est évident. Il savait à quel point je tenait à être présente et ce con omet d'envoyer le jet, il n'avait que cela a faire de toute sa semaine et puis non voila je suis coincée ici à devoir faire comme le 90% de cette planète, regarder la cérémonie sur internet. Quelle honte d'être traitée comme cela.

Je baissais mon journal afin de boir un gorgée de café, lorsque je vis entrer Gabrielle, sa chevelure de feu, je ne pourrait la confondre avec nulle autre. je lui fait alors un signe de la main afin qu'elle me remarque et qu'elle s'approche

Gabrielle, comme je suis heureuse de te voir ce matin !

Dis-je d'un ton presque soulagé je pense que ça m'aurait achevé d'apprendre que la jolie rouquine ai pus se rendre à Londres en ce week end exceptionnel.

C'était une insulte un scandal que je ne pouvais décement pas pardonner. mon frère s'en fou peut être de ne pas saluer Elisabeth II et ma soeur prendra un malin plaisir à m'agacer sur cette question si elle me vois ici aujourd'hui et rien que d'y penser mon sang brûle mes veines de rage. Jamais "Big Daddy" ne m'avais délaissée de la sorte jamais il n'oubliais le jet JAMAIS AH si ça ce trouve c'est encore à cause de ce champignon nucléaire, terme agréable et tendre que j'utilise pour qualifié ma demi grande soeur. Pour la petite histoire la première fois que je l'ai rencontrée elle portait un chignon d'un mauvais goût à pleurer et elle me faisait tout simplement penser au champignons nucléaire, et depuis ça m'aie resté. Cela me rend totalement nauséeuse de me dire que cette garce porte la même nom de famille que moi elle n'a ni le rang ni la classe et encore moins l'honneur de faire parti de cette famille. Nous sommes une noble famille britannique descendantes directe de Mary Boleyn, la tante de la plus grande reine que l'Angleterre n'ai jamais connu. Elle,,, ce n'ai qu'une batarde...

Je serre les dents en lisant les articles qui malheureusement ce ressemblaient tous et me déprimaient de plus en plus. Moi Angel Felyn Esmeralda Bucketer, je suis coincée au milieu des montagnes alors que ma place était à Londres, à faire des mots avec le prince Harry et à discuter de haute couture avec Kate Middlton. Heureusement pour moi, cependant une crinière rousse interrompit le cour de mes tristes pensées, Gabrielle.

Felyn ! Quel enthousiasme ! C’est rare de te voir levée de si bon matin ; à en voir les marches d’acharnement sur ton journal, ta nuit n’a pas été des plus reposantes !

Je soupire, cette fille est trop observatrice et je me dis qu'elle devais plutôt espionner pour moi que m'espionner moi enfin observer devrais-je plutôt dire. Cette jeune fille serait une parfaite espionne. Plus je la connaissais plus je m'en persuade.

Que t’arrive-t-il Buckater ?

Je pose alors mon journal le pliant soigneusement et le posant à côté de ma tasse de café tout en prenant celle-ci pour en boire une gorgée.

Figures toi ma chère Hastings que Papa Buckater a oublié de m'envoyer le jet afin que je puisse assisté au jubilé de sa majesté ! Je suis totalement hors de moi.