Bon alors déjà salut ! Mon nom tu le connais déjà il me semble je l'ai déjà noté maintenant intéressons nous aux choses plus importantes. Alors déjà j'ai 19 ANS parce que je suis née le 17 octobre 1992 ensuite afin que tu me comprennes mieux sache que j'ai vu le jour à Paris et grâce à mes parents j'ai la chance de venir de France. Sachez que je suis Hétérosexuelle. Figurez vous que physiquement je ressemble énormément à Barbara Palvin. Je suis une PAWN dans la fraternité des GOLDEN KEYS Et finalement je dois remercier Tumblr et Angel Dust pour les magnifiques créations graphiques.

Avec son regard, son touché, ses larmes emplies de toute la mélancolie adolescente que tous s'efforcent de garder pour eux, Birdie tournait les pages de son journal intime. Ses yeux voguaient ici et là, jonglant entre les larmes de joies et de tristesses, elle souriait, puis faisait la moue, puis pleurnichait. Parfois, elle passait juste le bout de son doigt rapidement. D'autres fois, elle lisait toute la page.
« C'est l'heure de dormir mon coeur, demain sera une grande, grande journée ! » parfois elle avait envie de la gifler, la nouvelle femme décolorée de son père. Mais elle lui souriait poliment, lui rendait son câlin, acceptait son baiser et se laissait border avant de babiller des paupières et de sombrer dans son rêve enfantin.

Bright eyes.
La Lune caressait avec une douceur maternelle la grande propriété des Lovelace ce jour-là. Les yeux teintés de bleu, la bouche dansante, Birdie dansait dans les bras de ses parents pendant la grande cérémonie de mariage. C'était beau, encore mieux qu'un rêve. Un rêve qui n'aurait jamais dû prendre fin. Sa petite robe aux couleurs pastelles, bombée par les rembourrages princiers, ses petites chaussures de vairs et les fleurs dans les cheveux ; tout ce dont rêvait une fillette de huit ans collectionnant les tasses en porcelaine et les films Walt Disney vantant tous les mérites d'être une princesse. La danse semblait interminable, la balade berçante, la voix de sa mère sucrée et chaleureuse. Tout le monde s'amusait, le buffet était fabuleux, la grâce se lisait aussi bien dans les yeux azurs de la mariée que sur les canapés au saumon fumé.
Les rires carillonnaient, les verres trinquaient et jamais Birdie n'aurait voulu que tout cela s'arrête. Elle aurait voulu rester là, toute sa vie, dans les bras de sa maman à tournoyer dans les airs, à rire comme l'enfant qu'elle était dans sa robe de princesse. Préservée de toutes les choses horribles de la vie, de toutes ces atroces réalités ; les maladies ... les problèmes d'adultes ... et surtout, les maladies. Rien n'aurait pu prévoir ce malheur, et pourtant, le rêve diamantin d'une gamine choyée par ses parents d'amour, a su se briser encore plus facilement qu'un verre de cristal fin.
Il a suffi d'une minute d’inattention. Birdie était priée de venir poser avec les autres enfants pour la grande photo de tous les mini-invités. Le regard plongé sur l'objectif, elle n'a pas vu sa mère chuter du haut de ses talons dorés.

« Chérie ? Tu vas bien ? Pourquoi as-tu crié ? » elle balaye sa chambre du regard, ça n'était rien. Un simple rêve, c'est à cause du journal intime, elle n'aurait pas dû le lire. Elle devrait même s'en débarrasser. Du moins, elle est heureuse que son père soit venu et non pas cette bonne femme arrivée tout droit d'Amérique du Sud par on ne sait quel miracle ... « Ce n'était rien, juste un cauchemar, je vais me rendormir. » il range une mèche de ses cheveux derrière son oreille et dépose un baiser sur le front de son coquelicot Parisien, sa fleur, sa Birdie. Elle ferme doucement les yeux, décoche une risette puis replonge sur son oreiller. Une fois la chambre vidée, elle murmure : « Si seulement tu pouvais être là maman, tu me manques tellement. » et des larmes roulent sur ses joues satinées pour finir sur l'oreiller. Ça promet pour le reste de la nuit ...

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Journal de Birdie a écrit:

Cher journal,

Aujourd'hui, papa s'est remarié. Voilà qu'il file le parfait amour avec cette femme qui n'est vraiment pas une femme ... méchante ou quoi que ce soit de ce genre. À vrai dire, cette femme est un ange. Elle m'aide pour travailler, elle fait de la cuisine fabuleuse, elle a même une fille d'un an mon aînée qui par contre, elle, n'arrive pas à me supporter. Je n'ai jamais autant eu besoin de maman, je ne comprends pas comment papa a pu se remarier, cela ne fait pas si longtemps que cela ... 10 ans. Je pensais qu'il attendrait que j'ai quitté la maison, au moins. Je voulais le faire dès cette année mais, j'ai préféré rester ici.
Luz n'est pas du genre à se laisser faire et, elle est tellement capricieuse que cela me donne mal au coeur de voir papa céder à tous ses caprices. Je me demande comment elle peut être aussi ingrate à toujours faire des demandes plus immenses les unes que les autres. Nous ne partageons pas notre chambre parce qu'elle ne veut pas dormir près de moi, elle ne boit pas le même café que nous, elle fait venir des croissants spécialement pour elle chaque matin ; non pas que nous n'ayons pas les moyens de nous payer tout cela mais je reste perplexe quant à ses origines modestes lorsque je la vois agir ainsi. Je sais que dans la maison, mis à part son stupide chat, elle n'aime pas grand monde. Même sa mère à droit à des piques, je ne la supporte pas et suis bien heureusement de ne pas trop la rencontrer dans les couloirs du collège.

« Le repas est prêt ! » Birdie descendit doucement les marches pour rejoindre tout le monde autour de la table. Elle jeta un regard vers les décorations qui lui valurent un sourire. Sa mère aussi avait un goût prononcé pour les jolies choses et ... pourtant, malgré tout ce qu'elle faisait, elle avait tellement de mal avec cette nouvelle femme. [...] le repas se déroulait à merveille. La soupe avait été délicieuse, les paupiettes de veau appétissante. Birdie finit son verre et alors qu'elle s'extirpait de la table son père se racla la gorge. Elle se remit en place, sachant très bien que cela signifiait qu'il allait annoncer quelque chose. Elle ne voulait qu'une seule chose : qu'il se dépêche et qu'elle puisse enfiler ses collants pour aller à la danse. « Tu sais que ta soeur ... » elle le regarda avec un air innocent, fulminant de l'intérieur : cette fille, n'avait rien, rien du tout, en commun avec elle. « ... est plutôt douée en danse, elle aussi. » elle n'en croyait pas ses yeux, ni ses oreilles. Mais le halo semblait perdurer au-dessus de sa tête. « ... tu pourrais lui prêter ta salle de danse personnelle ? » pardon ? Comment pouvait-il lui demander une chose pareille ? Elle voyait déjà cette petite teigne se délecter de sa victoire quand sa mère intervint rapidement et attrapa les mains de Birdie. « Je voudrais que ça soit toi qui lui donne des cours de danse, ma douce. » alors ça, c'était le pompon. Ils ne savaient pas qu'elles se détestaient ? Sûrement que les piques que subissent Birdie sont inaudibles ... que les vols de chaussures sont invisibles ... Malheureusement, personne n'avait moyen de contredire la décision du Padre. Birdie ne fit qu'acquiescer poliment en offrant un sourire enfantin et retourna à sa chambre. Son premier réflexe fut de fourrer sa tête dans un oreiller bien rembourré et de hurler comme une furie sans être entendue.

Journal de Birdie a écrit:

Cher Journal,

Je ne sais pas quand je vais être obligée de donner des cours de danse à cette horrible fille. Je ne sais même pas pourquoi papa m'oblige à faire cela. Il m'a dit que cela attendrait la rentrée ... retarder ne fait que me faire encore plus peur. Bon, cette fille n'est pas un monstre, mais tout de même, elle me fait un peu peur. Je sais que papa veut tout faire pour qu'on soit comme des soeurs mais, de toute façon, personne ne nous verra comme tel. Nous les premières. Jusqu'à l'an dernier, tout allait bien. On vivait tous seuls, papa et moi, dans la grande maison. J'ai grandi de façon tout à fait normale. Mais il a fallu que quelqu'un lui parle du fait d'être seul ... oh oui, il lui fallait une nouvelle femme. Pourquoi pas ne pas aller la chercher directement en Amérique du Sud pendant un stupide voyage d'affaire ? Et pourquoi ne pas proposer à sa fille de l'accompagner, d'emménager, de prendre ses aises ... d'être la soeur que Birdie n'a jamais eue ! Et puis, Birdie lui donnera des cours de danse, elle est si douée. Je n'ai jamais autant regretté d'être allée poser avec les autres pendant ce stupide mariage. Mais je ne pourrai jamais faire sauter cette fille de son trône : je dois "lui laisser une chance". De toute façon, je ne suis pas méchante, elle devrait rester neutre à mon égard si je ne lui fais pas trop de remarques négatives. Maman me manque, et j'ai même l'impression qu'elle s'éloigne de jour en jour ... et la rentrée, c'est déjà demain.

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CARACTÈRE / PHYSIQUE

Psyché est une jeune fille, pas besoin que cela soit écrit sur son visage. Du haut de son mètre soixante-quatre, elle se sent plutôt à l'aise, ni trop haute ni trop basse. Une taille gracile, des mensurations fines et un port gracieux dû à de longues heures passées à travailler son port en dansant en tutu. Son visage inspire l'innocence enfantine ; un sourire à croquer, quelques fossettes et de grands yeux aussi profond que les abysses océaniques. Birdie n'est certes pas désagréable à regarder, elle passe cependant plus pour une petite fille adorable que pour une jeune fille désirable. Encore heureux qu'elle danse avec docilité et grâce.
Birdie possède un style vestimentaire assez banal. Elle s'habille à l'image de toutes les filles de son école. Ce qui lui apporte un minimum de différence sont les rubans avec lesquels elle aime nouer ses cheveux et les barrettes assorties à ses robes.

La naïveté est chez Birdie, un défaut moindre. Elle n'est pas réellement naïve, elle le fait croire mais, seule son innocence vous sauve d'une vengeance de la part de la petite Lovelace. Elle vient d'une famille aisée donc, sait quelles sont les manières à adopter en haute société. Inoffensive à l'extrême, Birdie ne sait ni défendre ses opinions, ni contredire une personne. Ce n'est peut-être là que l'héritage de sa mère, elle était si calme. Birdie est doté d'un calme incroyable, prête à tout pour éviter la moindre embrouille. Un peu trop gentille pour être lâchée dans l'arène, elle est comme fraîchement sortie d'un couvent à chaque pas qu'elle fait hors de la propriété de son père. Certaines choses lui sont inconnues, d'autres incompréhensibles comme la trahison, la cruauté et ce genre de futilité qui prennent une place assez signifiante dans la société dans laquelle la jeune fille vit. Elle ne se rend pas compte que d'être gentille ne lui apportera pas que du bien, mais aussi d'atroces désillusion et d'immenses souffrances. Elle joue les filles innocentes et sait qu'elle ne pourrait même pas écraser un moustique.
Cela ne l'empêchait pas d'être une fille brillante. Elle excelle dans beaucoup de domaine ce qui attise la jalousie de certain et lui apporte nombres d'ennuis. Elle ne les voit pas venir, ça commence par un coup de pouce et ça finit par 25 copies à rédiger pour le lendemain sans faute. Elle ne sait probablement pas dire non, son père a dû oublier de lui inculquer la manière de refuser pour qu'une personne n'insiste pas. Il sait le faire, lui, ce grand détenteur de la parfumerie Lovelace, refuser des offres avec poigne et détermination. Cela a dû lui échapper lorsque sa femme est morte, il a laissé Birdie dans son éternel condition de petite fille adorable et souriante.

Pseudo / Prénom : Piñata / Capucine
Age : 17 ans depuis peu
Nationalité : Française
Taux d'activité : 7/7
Que penses-tu du forum ? : Je le trouve agréable et ça sent le neuf en plus c'est magique *___*
Un mot de la fin ? : J'espère que vous aimez le chocolat, les léchouilles , les boulets comme moi et puis évidemment, le chocolat -comment ça j'ai déjà dit chocolat ?